Etre comptable, analyste financier et/ou auditeur dans une entreprise, c’est faire face à certaines réalités que sont : traiter les opérations financières de l’entreprise au jour le jour, maîtriser les implications fiscales du régime auquel est soumis l’entreprise et toutes autres opérations comptables. Tout cela passe par la maîtrise de certains logiciels comptables et certains tableurs tels que Microsoft Excel ; outils indispensables d’un professionnel de ce métier de nos jours.
La société d’ingénierie FAL SCOP CORPORATION du BENIN (FSC-BENIN), Filiale du groupe FSC se propose de vous accompagner à réussir vos différentes missions en entreprise grâce à certains de ces modules taillés sur mesure et animés par des professionnels avertis du domaine. Nos séances de formations sont des séances d’échanges entre formateur et professionnel du domaine ou débutant. C’est le lieu de traiter des différents cas pratiques vécus en entreprise.
Toute
association (loi 1901 ou relevant du régime
applicable dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle)
qui demande un agrément doit remplir les 3 conditions suivantes :
Répondre à un objet d’intérêt général
Pour répondre à la condition d’objet d’intérêt général, l’association
doit :
justifier
d’une gestion désintéressée et ne pas poursuivre de but lucratif,
être
ouverte à tous sans discrimination,
présenter
des garanties suffisantes au regard du respect des libertés individuelles.
Son action ne doit pas se limiter à la défense du seul intérêt collectif de
ses membres.
Présenter un mode de fonctionnement
démocratique
Le fonctionnement de l’association est considéré comme démocratique si les
conditions suivantes sont remplies.
L’assemblée
générale se réunit régulièrement, au moins une fois par an.
Les
membres à jour de leurs obligations (notamment de leurs cotisations)
disposent d’un droit de participation effective à l’assemblée et d’un
droit de vote.
Les
documents nécessaires à leur information leur sont communiqués selon les
conditions prévues par les statuts ou le règlement intérieur.
Au
moins la moitié des membres chargés de l’administration ou de la direction
sont élus par l’assemblée générale.
Le
renouvellement régulier des membres chargés de l’administration ou de la
direction et le rapport annuel d’activités sont soumis à l’approbation de
l’assemblée générale.
Respecter des règles de nature à
garantir la transparence financière
La transparence financière est considérée comme respectée si les conditions
suivantes sont remplies.
L’association
établit un budget annuel et des états financiers ou, éventuellement des
comptes.
Le
budget annuel, les états financiers, ou les comptes, sont communiqués aux
membres dans les délais prévus par ses statuts.
Ces
documents sont soumet à l’assemblée générale pour approbation.
L’association
assure la publicité et la communication de ces documents budgétaires et
comptables aux autorités publiques conformément à la réglementation.
Pourquoi valoriser le bénévolat dans les comptes associatifs?
Les associations
1901, y compris les plus petites, n’échappent pas à une méthode d’observation
basée l’évaluation, la valorisation, la contrepartie, la valeur ajoutée etc. Un
ensemble de mesures quantitatives qui sont priorisées au détriment de mesures
qualitatives. De fait, de plus en plus souvent, les dirigeants se voient
réclamer leurs comptes par des tiers extérieurs : fonctionnaires, partenaires,
banquiers… Or, l’immense majorité des associations fonctionne avec très
peu d’argent et beaucoup d’aides en matière de bénévolat. Selon
les estimations, plus de 900.000 structures fonctionnent sans salariés et avec
un budget moyen de l’ordre de 11.700 euros
En fait, dans ces structures, la
principale ressource de l’association réside dans le travail
bénévole. Les recettes monétaires sont limitées aux cotisations
annuelles perçues auprès des adhérents, quelques fois un prix plus ou moins
symbolique est encaissé auprès des usagers ou lors de manifestations
exceptionnelles et des projets associatifs. Les dépenses sont strictement
ajustées puisqu’il y a peu de fonds. Il est donc nécessaire d’évaluer une forme
de performance et de formuler une valorisation pour le travail accompli par les
bénévoles.
L’essentiel des activités se
déroulant dans le champ du don et de la gratuité, il n’y a pas de
« financiarisation » de ces activités ; elles restent donc largement invisibles
dans la comptabilité. Le profil comptable et financier de ces
« petites » associations apparaît alors comme modeste, souvent sans
commune mesure avec le rayonnement réel de
l’association.
La lecture des comptes associative
fait penser systématiquement à une coquille vide. La,
conséquence directe de cet état des choses oblige donc les associations dont
l’activité n’est pas financiarisée parce qu’elle repose sur le bénévolat et le
volontariat, ont intérêt à faire apparaître dans leur comptabilité le
travail et les autres apports bénévoles.
Cette
valorisation comptable du bénévolat consiste à faire l’inventaire
de toutes les contributions des bénévoles, par exemple, le
temps de travail, les biens et services mis à disposition, la renonciation à se
faire rembourser certains frais exposés pour l’association etc.
Une
fois valorisées, ces contributions sont intégrées dans la comptabilité de
l’association, grâce à une série de comptes spécialement prévus à
cet effet par le Plan Comptable Associatif.
De
cette manière, l’association peut présenter au tiers une image
plus fidèle d’elle-même, indiquant la vraie place des
contributions bénévoles.
Les méthodes de
comptabilité varient suivant votre organisation, sa taille, son but et surtout
la nature de ses sources de financement. Les associations doivent en
effet « impérativement tenir une comptabilité, dont le degré
et la nature seront fonction de la taille de l’association, de
la source de ses financements (subvention, prêt bancaire, don,), de
son activité et enfin de l’exercice, ou non, d’une activité
lucrative ». La réglementation définie par la loi du 1er juillet 1901
qui définit la comptabilité pour les associations peut paraître néanmoins un
peu confuse à première vue. En effet, elle ne prévoit pas d’obligation en
matière de tenue des comptes.
Bon nombre de
dirigeants se sont crus exemptés de comptabilité sous couvert du statut
d’« association » de leur organisation. Et pourtant, une association
a bel et bien des responsabilités et des obligations. Qu’il s’agisse de code du
travail ou de fiscalité, les associations peuvent en effet faire l’objet de
poursuites. Dans le cas d’un non-respect des obligations comptables, la loi
2014-854 (vers le site de Legifrance)
spécifie des peines pour les dirigeants, tout comme cela s’applique dans le
Code de commerce. Les enjeux sont donc importants. Pour avoir un bon contrôle
de ses comptes, nous vous conseillons de vous entourer d’experts. Pour les
associations de petites tailles ne pouvant pas se le permettre, des logiciels
pourront les aider dans leur démarche.
Pourquoi tenir une comptabilité en association ?
4 bonnes raisons de tenir une comptabilité
1. L’assemblée générale des membres
Certes, la généralité des associations régies
par la loi de 1901 n’est pas tenue légalement d’établir des comptes. Cependant,
sur le plan juridique, les dirigeants associatifs supportent de manière
indirecte cette obligation : aux termes du Code Civil, leur statut de
mandataire les contraint à rendre des comptes à leur mandant, en l’occurrence
l’assemblée générale des membres. On peut donc dire que la tenue d’une
comptabilité est pour les dirigeants bénévoles un moyen indispensable (et
souvent suffisant) pour dégager leur responsabilité vis-à-vis de l’association.
2. Obligations administratives
Même si votre association est de petite taille
et que le projet est partagé entre un groupe restreint de personnes, il est
possible que vous ayez un jour à vous justifier vis-à-vis d’une administration,
le fisc ou l’URSSAF par exemple.
Dans ce contexte, et notamment si
l’association effectue des versements au profit de ses dirigeants
(remboursements de frais, prise en charge de dépenses), vous devrez établir
qu’il ne s’agit pas d’une rémunération. La tenue d’une comptabilité en bonne et
due forme est l’idéale et protège l’association.
3. Développement de l’association et pérennisation de
l’activité
Dans le cadre des partenariats avec des acteurs
privés ou des pouvoirs publics, vous serez amené à présenter vos comptes. Il en
va de même si vous comptez faire bénéficier vos adhérents et donateurs des
avantages fiscaux prévus par l’article 200 du CGI. Dès qu’il s’agit d’aller
chercher des recettes de mécénat, des subventions ou le moindre avantage
fiscal, le dossier à présenter au financeur exige quelques informations
comptables, plus ou moins développées.
4. Valorisation du Bénévolat
Comme dirigeant, vous avez la chance de
pouvoir compter sur une bonne équipe de bénévoles qui ne ménagent pas leur
peine. Cela permet à l’association de développer d’importantes activités, –
quasiment sans argent-. La tenue d’une comptabilité est un bon moyen pour
valoriser ce bénévolat et faire apparaître l’ampleur réelle du projet
associatif.
Avec la valorisation comptable des
contributions bénévoles, l’association se donne un outil de management de ses
ressources humaines, notamment en donnant acte aux membres actifs de leur
engagement au quotidien. Elle permet également de mesurer l’utilité collective
de la structure dans un circuit non marchand, et de lui restituer la réalité de
son impact social.
L’administration fiscale calculera, selon les revenus 2017 déclarés au printemps 2018, le montant des acomptes qui seront prélevés chaque mois ou chaque trimestre, à partir du 1er janvier 2019.
En septembre 2019, le montant de l’acompte sera actualisé pour tenir compte des changements éventuels consécutifs à la déclaration des revenus de 2018 effectuée au printemps 2019. Il sera à nouveau actualisé chaque année, en septembre.
En cas de changement de situation conduisant à une variation prévisible et significative de l’impôt, le contribuable pourra, s’il le souhaite, demander une mise à jour en cours d’année du montant de l’acompte. Le site impots.gouv.fr permettra à chaque contribuable de simuler la possibilité de modulation et d’en valider la demande auprès de l’administration fiscale.
Que se passe-t-il pour les revenus de l’année 2018 dans le cadre de la mise en place du prélèvement à la source ?
L’impôt sur le revenu sera payé chaque année : en 2018 sur les revenus de 2017, en 2019 sur les revenus de 2019, etc. ll n’y aura pas de double prélèvement en 2019 sur les salaires, les retraites, les revenus de remplacement, les revenus des indépendants et les revenus fonciers récurrents. L’impôt normalement dû au titre des revenus non exceptionnels perçus en 2018 sera annulé.
Les revenus exceptionnels par nature ainsi que les autres revenus exclus du champ de la réforme perçus en 2018, par exemple les plus-values mobilières et immobilières, resteront imposés en 2019 selon les modalités habituelles. Enfin, la loi prévoira des dispositions particulières pour que les contribuables qui sont en capacité de le faire ne puissent pas majorer artificiellement leurs revenus de l’année 2018.
Comment se fera le paiement de l’impôt sur le revenu ?
Les indépendants paieront leur impôt sur le revenu au moyen d’acomptes calculés par les services fiscaux sur la base de la dernière situation connue et prélevés mensuellement ou trimestriellement. À revenus stables, ces acomptes correspondront aux prélèvements actuellement à leur charge, sous réserve, pour les acomptes mensuels, d’un étalement sur douze mois et non sur dix. Important : ils correspondront à l’impôt de l’année en cours, et non de l’année précédente.
Les agriculteurs ayant opté pour l’imposition de leurs revenus selon la moyenne triennale auront des acomptes calculés sur la base de la moyenne des trois derniers exercices connus. Ces acomptes feront l’objet d’un prélèvement bancaire, dans un souci de simplicité pour les contribuables.
Le chef d’entreprise qui exerce en entreprise individuelle est imposé fiscalement sur le bénéfice professionnel qu’il réalise. Il n’existe pas de distinction entre le bénéfice de l’entreprise et sa rémunération. Le bénéfice de l’entreprise est imposé à l’impôt sur le revenu (IR) par l’intermédiaire de la déclaration personnelle de l’entrepreneur.
Si vous êtes dans cette situation, vous devez indiquer les bénéfices de votre entreprise dans votre déclaration de revenus dans la catégorie des « bénéfices industriels et commerciaux » (BIC) si votre activité est industrielle, commerciale ou artisanale, ou des « bénéfices non commerciaux» (BNC), si votre activité est libérale.
Le taux d’imposition qui vous sera appliqué dépend de vos autres revenus, de ceux de votre foyer fiscal ainsi que de votre situation familiale.
Vous dirigez une société
En principe, les SARL (société à responsabilité limitée), SA (société anonyme), SAS (société par actions simplifiée) sont imposées à l’impôt sur les sociétés (IS) bien qu’elles puissent opter sous certaines conditions pour l’impôt sur le revenu (IR). L’EURL (entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée), qui est une société type SARL mais créée à partir d’un associé unique, et la SNC (société en nom collectif) sont en général soumises à l’impôt sur le revenu avec toutefois une option possible pour l’imposition des bénéfices à l’impôt sur les sociétés.
L’impôt sur les sociétés (IS) est un régime fiscal qui sépare le bénéfice de l’entreprise et la rémunération du dirigeant. Le chef d’entreprise paie alors des impôts personnels sur le salaire qu’il perçoit. Ainsi, vous devez déclarer votre rémunération et les dividendes reçus sur votre formulaire d’imposition des revenus. Le bénéfice net de votre entreprise déduction faite de votre rémunération (qui constitue une charge pour votre société) doit être en revanche déclaré sur votre formulaire pour l’impôt sur les sociétés.
Lorsqu’une société décide de répartir tout ou partie de ses bénéfices entre les associés, les bénéfices ou dividendes sont imposés au niveau de la société au titre de l’impôt sur les sociétés et au niveau des associés au titre du prélèvement forfaitaire unique (PFU) ou sur option au barème progressif de l’impôt sur le revenu.
Il s’agit de définir la position de l’entreprise dans son contexte économique à travers des données internes et externes. Les questions essentielles suivantes sont misent en avant :
Quelles sont les perspectives de développement de l’entreprise ?
Pour répondre à cette question, nous faisons un point sur les produits/services, les moyens de production, le marché, la concurrence, les perspectives d’évolution et de développement de l’entreprise. Nous déterminerons les atouts et les faiblesses de l’entreprise, les opportunités et les menaces à travers une analyse stratégique. Ensuite voir la compétitivité de l’entreprise par rapport à la concurrence, et évaluer ses moyens, le but étant de voir si elle reste sur le marché. Ensuite, un facteur pertinent qui sera de revoir l’objet de la création de l’entreprise. En plus clairs, nous poserons la question suivante :
L’entreprise est-elle en phase avec les attentes actuelles de ses clients et l’environnement économique actuel et futur ?
À travers cette interrogation, nous identifierons les mesures à prendre pour améliorer la situation et rendre l’entreprise plus dynamique et plus compétitive. L’idée étant de redéfinir la position économique de l’entreprise en fonction de la demande sur le marché. Le diagnostic économique et stratégique permet de redéfinir la dynamique d’évolution de l’entreprise et de la rebooster autrement. C’est le diagnostic des grands choix stratégiques de l’entreprise. Il va correspondre à une demande, émanant de la direction de l’entreprise, de validation et/ou de modification des grands choix stratégiques de la structure. Pour réaliser cette étude, la FSC prendra en compte les informations issues de petits diagnostics fonctionnels réalisés. La finalité étant de déboucher sur des propositions de repositionnement global de la structure.
Le diagnostic externe
Il s’intéresse à l’environnement externe de l’entreprise, aux opportunités qui s’offrent à l’entreprise mais aussi aux menaces. Elle peuvent être identifiées au niveau de la concurrence, de l’aspect politique, de l’environnement et des données du marché etc. Pour cela l’observation et l’évaluation portent sur les données du macro-environnement. Le diagnostic externe étudie en partie les effets de l’environnement externe sur les décisions à l’interne.
Le diagnostic interne
L’analyse porte sur les forces et faiblesses de l’organisation. Une analyse SWOT peut-être de mise. On identifie par ce biais les compétences et savoir-faire, la structure, les implantations, etc. En résumé, il s’agira d’identifier le potentiel à l’interne de l’organisation qui lui permettra son expansion.
La FSC pour accompagne à travers le DSA dans l’accomplissement du diagnostic de votre entreprise.
un pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il est plus efficace que les autres, et échanger les surplus de ces biens contre d’autres biens dont il aurait besoin (Principe de l’avantage absolue, Adam Smith 1723 – 1790)
Déchargez-vous des opérations comptables
Pour permettre le développement de votre entreprise, il convient de concentrer son énergie sur le développement de l’activité proprement dit. Pour ce qui est des questions comptables et fiscales, le réflexe idéal est de faire appel à des prestataires spécialisés prenant en charge ce volet, comme l’offre de services aux entrepreneurs du groupe FSC. Le chef d’entreprise a toujours le nez dans le guidon, c’est bien connu. Autant faire en sorte de sous-traiter ce qui peut être externaliser. Encore plus lorsque des compétences techniques sont nécessaires pour appréhender le sujet surtout quand il s’agit de la comptabilité et la fiscalité.
Se référer aux professionnels du domaine afin d’effectuer les bons choix en matière financière
Se décharger de cette mission n’est point synonyme de se fermer aux sujets comptables.. Bien au contraire, cette démarche permet au chef d’entreprise d’avoir une vu en hauteur sur ses finances ainsi que le recule nécessaire dans les décisions, tout en bénéficiant de l’accompagnement et des résultats d’analyse des experts.
Votre mission: Réussir votre activité
Le chef d’entreprise oit avant tout est en inconditionnelle disponibilité pour répondre aux besoins de ses clients. Pour ce faire, le chef d’entreprise doit être en mesure de se donner les moyens de libérer du temps pour sa clientèle et éventuellement son équipe
Dans ce contexte, les experts qui vous accompagnent se portent garant de votre comptabilité afin de vous permettre une bien meilleure concentration sur l’essentiel, veiller à ce que ce volet ne vous fasse pas passer à côté DU marché ou DU client et de ne pas voir arriver de nouveaux concurrents, anticiper également les évolutions du marchés et des besoins de vos clients dont vous disposez déjà.
L’expert qui vous accompagne dans la dynamique d’externalisation met en place pour vous Une veille économique et une écoute permanentes du marché afin de vous accompagner dans les meilleurs choix.
Les contraintes du monde d’aujourd’hui vous oblige à effectuer un choix d’internalisation ou d’externalisation, et pour vous, jeunes entrepreneurs, l’externalisation est une alternative, pour vous bénéfique et opportune.
Quelles sont les solutions à disposition des entreprises pour conduire leur comptabilité ? Gérer en interne ? Externaliser certaines tâches ? Externaliser complètement la fonction ? Quelques éléments d’introduction pour sa réflexion.
www.manager-go.com
Publié le 13/10/2018
Groupe FSC
L’externalisation repose sur la volonté du chef d’entreprise, de réaliser une économie d’échelle sur les coûts d’une fonction ou de certaines opérations. Il s’avère souvent plus économique de traiter certaines tâches d’une façon industrielle en recourant à des sociétés spécialisées que de les gérer en interne. Le principe est de transférer les compétences vers un professionnel externe pour la tenue de la comptabilité. Parle système de digitalisation des entreprises, il est aussi possible de confier la comptabilité à un professionnel se trouvant dans un pays étranger, là où les coûts peuvent être plus réduits, par un principe de spécialisation. Pour l’externalisation de votre comptabilité vous pouvez faire confiance à un cabinet d’expertise comptable, un bureau d’étude / d’ingénierie, une association de gestion spécialisée en comptabilité, un comptable qualifié, etc. Ensuite, un bureau comptable se doit d’être protégé au maximum en mettant en place un système performant de sécurité et de confidentialité.
Votre professionnel peut assurer une partie ou l’intégralité de vos opérations comptables suivant vos demandes; assurer à la demande votre comptabilité générale et votre comptabilité clients; réaliser vos déclarations fiscales et sociales et s’assurer de la gestion de paie, etc.
Ses missions sont préalablement définies dans la lettre de mission. La durée de la mission est aussi bien stipulée dans cette formalité et généralement couvre l’année d’exercice.
Un autre avantage est d’améliorer la flexibilité des charges de l’entreprise en rendant variables celles liées à la fonction comptable. En effet, le prestataire facture ses clients en se basant sur un nombre d’unités d’oeuvre. Par exemple le nombre de lignes saisies.
Quelles fonctions et comment externaliser ?
Le système d’externalisation de nos jours se fait par système numérique ou par mise à disposition d’un assistant-comptable pour la récupération et le traitement des pièces comptables.
Externaliser sa comptabilité présente bien des avantages, mais des risques existent également. Parmi ceux-ci, le plus important sera la protection des données et le système de partage des données tout en respectant les règles de confidentialité.
Le risque dans ce système est la perte des compétences clés et donc de se retrouver dans une situation de dépendance vis-à-vis du bureau d’étude / d’ingénierie.
Le service d’externalisation financière fait recours à des prestataires externes pour des tâches bien précises afin de libérer du temps, de l’énergie et accessoirement réaliser des économies pour des opérations plus stratégiques.
La FSC s’engage auprès de ses clients en leur apportant un service d’expertise financière avec un suivie pointu et régulier de votre activité.
« Il semble évident que les entreprises ne peuvent se permettre d’ignorer cette forme spectaculaire de mutation que vit l’industrie d’aujourd’hui : la transformation digitale. On s’achemine progressivement vers l’usine intelligente, avec des processus numérisés, des traitements et échanges de données toujours plus informatisés. Les supports matériels tendent à disparaître à mesure que l’intégration des dernières innovations technologiques se fait au sein de l’entreprise. Le mouvement paraît immuable et nécessaire[..]» (PICONTO.COM)
La FSC, acteur du développement numérique accompagne les entreprises dans la mise en place de systèmes de gestion numérique.